Le corps haletant, qui s’articule à travers une dissection chirurgicale du temps. Comme une collection de fragments où l’être se disloque toujours un peu plus – sans doute à la recherche de lui-même, des instants qui le composent.
Puis la violence du cri, jusqu’à l’épuisement de la douleur. Un geste de dernier recours, pulvérisé jusqu’à ce que l’homme devienne enfin machine, monstre mécanique. Et l’univers qui reste pourtant en place.
vidéo, performance et musique
Martin Messier
filmé par
Véronique Béland