Des machines constituées d'engrenages et de manivelles sont manipulées pour engendrer une construction sonore à la croisée de l'acoustique et de l'électronique. Immergé dans le son, le spectateur découvre l’interaction entre le son mécanique et synthétique. La palette sonore des machines est réinventée grâce au traitement numérique.
La chambre des machines provient d’un désir de réappropriation du monde physique dans un environnement de création numérique.
Le projet est également un clin d'œil aux intonarumoris, ces machines à bruit construites par les futuristes italiens dont Luigi Russolo au début du XXe siècle.